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quartier du plateau - Page 3

  • REQUALIFICATION DU SQUARE MARCEAU-CHARLES DE GAULLE A VANVES 35 ANS APRES SA CREATION

    A l’occasion de la réunion publique du Plateau, jeudi dernier, la municipalité a présenté le  projet de requalification du square Marceau avec quelques esquissses projetés sur les écrans installés dans le préau de l’école Marceau. «On souhaite un espace pluri fonctionnel » a déclaré Pascal Vertanessian, maire adjoint à l’urbanisme en précisant « qu’on n’en est qu’à l’avant projet ». Le square actuel avait été dessiné et conçu en 1989  par un architecte vanvéen, Jacques Lesuisse, ancien éléve de Michelet, dont le pére a été un élu de Vanves . Le terrain sur lequel il avait été aménagé, avait été acquis par la ville en Février 1984 et comprenait alors un pavillon, un appentis et deux hangars. La municipalité de l’époque conduite par Gérard Orillard, souhaitait prolonger un square créé à la sortie du passage du métro ec l’autre côté de la rue Jean Bleuzen  et créer un espace vert et apaisant entre les deux groupes scolaires. Il a pris le nom de Charles de Gaulle pour le 20e anniversaire de sa disparition  et 100e anniversaire de sa disparition

    Le représentant d’un bureau d’étude a présenté le diagnostic effectué sur cet espace de 3000 m2 qui crée un fractionnement des espaces, créant des îlots et des sols de différents niveaux avec ce kiosque en contrebas.  «On souhaite retrouver une continuité des sols, une grande visibilité de la place grâce à un travail de nivellement du terrain,  compléter les plantations existantes en créant une véritable forêt urbaine de 50 arbres de différents tailles, assurer des lieux d’échanges et ludiques, avec une aire de jeux, plus visible un jardin pédagogique, un cheminement reliant la rue J.Bleuzen et l’entrée de l’école Marceau, la préservation de l’entrée de l’école primaire Gambetta  réaménagé grâce à un cheminement s’étirant vers  la place en le rendant  plus accessible aux PMR,   une fontaine avec des jets d‘eau » a-t-il descrit en précisant que le chantier qui devrait durer 4 à mois  sera réalisé entre Juillet et la fin de l’année

    Beaucoup de questions ont été posées par les participants sur la nature des sols – en stabilisé et stabilisé renforcé – en dehors des pelouses – pas accessibles aux enfants qui disposront de l’aire de jeux  - sur l’accessibilité du parking et de l’entrée de l’immeuble le long de ce square Marceau, sur la présence de bancs – « On n’en est pas encore à ce niveau de précision » a-t-il indiqué en précisant que ce square ne sera pas fermée pour rester accessible aux écoles. D’autres questions ont été posées sur l’accés et le stationnement vélo, l’évacuation des eaux pluviales, la présence d’une sanisette – «car la descente du parking sert d’urinoir» selon une habitante -

    Le maire qui s’est étonné que personne ne pose la question sur de possibles attroupements nuisibles au voisinage, a indiqué que la municipalité envisage de faire comme pour le square du carrefour de l’insurrection avec des grilles et quelques accés, ainsi que des bancs grâce à un systéme permettant de les enlever et de les remettre en place

  • REUNION PUBLIQUE DU PLATEAU : DEBAT SUR LA SECURITE DE VANVEENS EXCEDES PAR L’INCIVILITE

    Le maire de Vanves a repris ses réunions publiques de quartier qui l’a conduit lundi soir à l’école Marceau où trois thèmes, en autres, ont été abordé : Le bureau de Poste, la sécurité, les arrêts du 89 et les travaux de requalification du Plateau. Beaucoup étaient venus pour échanger sur la sécurité dans une ambiance citoyenne et républicaine qui a donné une haute tenue aux échanges qui ont duré plus d’une heure. «C’est un sujet de préoccupation pour le maire et les élus» n’a pas caché Bernard Gauducheau face à des riverains qui se plaignaient des nuisances provoqués par ses scooters qui font des rodéos et ses dealers qui traînent dans les rues piétonnes, lorsque ce n’est pas des bandes de jeune qui investissent des halls  ou traînent autour d’un banc pratiquement toute la nuit.

    Marie Françoise Goloubtzoff, maire adjointe chargé de la Sécurité a tentée d’apporter des réponses précises, d’autant plus qu’elle vit sur le Plateau et que « les problèmes que vous vivez, je les vis au quotidien ». Elle a rappelé la réunion qui s’est tenu la semaine dernière avec le commissaire et des représentants de chaque quartier qui ont posés des questions. «Le commissaire a rappelé que nous sommes une ville calme quand on se compare à des villes voisines. On a certes, des inciviltés, avec ses regroupements, ses scooters, ces ventes illicites de drogue… Cependant, ces éléments ne justifient pas pour  que la préfecture de police mette des effectifs pléthoriques. Ses effectifs sont faibles ! Il n’y a plus de BAC, malgré un renfort de fonctionnaire, qui a permis au commissaire de mettre 3 agents dans un véhicule présent 24H sur 24 sur le terrain, ce qui n’était pas le cas auparavant. Le commissariat agit avec des priorités, et fait appel à des effectifs complémentaires du département, comme ce fut le cas le 4 Novembre dernier où 40 individus étaient rassemblés re A.Comte. Il s’est avéré qu’ils tournaient un clip, mais sans autorisations, ce qui ne se fait pas. Comme pour la drogue, il s’agit de la petite revente, la police verbalise »

    Du coup, Vanves fait avec les moyens qu’elle a : 7 policiers municipaux qui jouent une certaine complémentarité avec la police Nationale. Ils font respecter les arrêtés municipaux, comme pour les chiens qui doivent être tenus en laisse, en effectuant des vérifications. Deux personnes ont été verbalisés avec des chiens ressemblant à des rockwellers.  Pour les rodéos de motos et de scooters, la ville essaie de clôturer les voies piétonnnes, mais il faut laisser un passage aux deux roues et aux handicapés… « Nous étudions d’autres moyens dissuasifs. Nous avons 8 caméras de vidéosurveillance sur le Plateau. On pourrait en rajouter. On prévoit des caméras de verbalisation, mais surtout pour fluidifier la circulation sur les grands axes en faisant la chasse au stationnement en double file » a-t-elle précisé. Un débat s’en est suivi sur lequel reviendra le blog demain

  • REUNION PUBLIQUE DU PLATEAU : SECURITE ! QU’EST-CE QU’ON ATTEND POUR AGIR ?

    Après l’exposé très clair de M.F. Goloubtzoff, maire adjoint adjoint chargé de la Sécurité, un débat s’est engagé avec les participants.  « On ne veut pas d’une ville où on a peur de sortir à cause de ses regroupements. Lorsqu’on voit une police municipale qui s’arrête à 18H  alors que justement ces jeunes arrivent ! Qu’est-ce qu’on attend pour agir ? »… « On vous invite à venir voir ce qui se passe entre 19H et 2 à 3H du matin ! Que fait ont maintenant ? » ont demandé des riverains en souhaitant la disparition de ce banc rue Jean Jaurés. « Le Conseil de quartier a souhaité son maintien. Il faut penser aux gens qui ont du mal à se déplacer. Et des vanvéens en demandent » ont répondu le maire et son adjointe. « Mais que font les parents ? » demande une participante. « On ne peut pas obliger les jeunes à suivre les activités proposées par le club Prévention et l’Escal » a fait constater Pascale Kaazan, maire Adjoint, le maire demandant l’âge de ces jeunes : 18 Ans ! « Mais ce sont des adultes ! »

    « Je ne veux pas minimiser le sujet. Mais ces problèmes étaient sans commune mesure auparavant. La écurité des biens et des personnes appartient à l’Etat. La police municipale a été renforcée dans certaines viles qui ont le doigt dans l’engrenage d’une police « bis ». Je préfére une police municipale complémentaire  avec des contrôles. En aucun cas, elle n’est préparé à des situations difficiles comme la police nationale. Je le dis : A chacun son boulot ! Depuis plusieurs mois, j’interviens pour demander des moyens supplémentaires. Lorsque le nouveau commissariat à été réalisé avec l’aide du Conseil Général des Haut sde Seine à l’époque, il devait accueillir 120 policiers. On a eu, les jours de grand vent, jusqu’à 105 agents avec une BAC. Aujourd’hui, nous en sommes à 65 policiers » précise Bernard Gauducheau. « Mais à Clamart, le maire a asséni la situation » lance alors une participante. « Ce n’est pas en recrutant des policiers municipaux qu’on régle les problémes de l’Etat » lui répond il en ajoutant « ce n’est pas la majorité des jeunes de Vanves qui posent un problème, mais une minorité, une poignée seulement qui créé et provoque des incivilités avec des comportements peu sérieux. ! ». Un participant propose alors d’avoir recors à des services privées de sécurité pour surveiller certaines zones avec des chiens. « La ville utilise parfois, lors de périodes chaudes, ses services privés de sécurité en liaison avec la police nationale » révéle maire